
Comprendre pour prévenir : lutter contre la première cause de mortalité infantile entre 1 mois et 2 ans
OMIN – Observatoire national des Morts Inattendues du Nourrisson
En financement permanent
Chaque année en France, environ 500 bébés décèdent brutalement sans signe annonciateur. Dans plus de la moitié des cas, aucune cause n’est retrouvée malgré les examens. La Mort Inattendue du Nourrisson (MIN), dont fait partie la Mort Subite du Nourrisson (MSN), reste un drame insupportable pour les familles, mais aussi un défi médical et scientifique majeur. Le CHU de Nantes coordonne l’OMIN, premier observatoire national dédié à cette cause. En collectant une grande diversité de données dans 37 centres MIN, ce projet vise à identifier de nouveaux facteurs de risque, mieux comprendre les causes biologiques et environnementales, et actualiser les campagnes de prévention. Parce qu’aucune famille ne devrait vivre ce drame, chaque donnée compte. Chaque soutien aussi.
Pourquoi ? Comment ?
Comprendre, agir & transformer
Pourquoi ce projet est essentiel !
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1
L’OMIN recense tous les cas de MIN pris en charge dans les centres de référence et permet une veille sanitaire à l’échelle nationale.
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2
En confrontant des données médicales, biologiques, socio-environnementales et administratives, l’équipe cherche à élucider les mécanismes complexes de la MIN.
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3
Certaines infections, anomalies cardiaques, neurologiques ou génétiques pourraient prédisposer les nourrissons : l’OMIN vise à les repérer.
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4
Même les décès survenus au domicile sont intégrés dans l’analyse, avec l’accord des familles, pour une approche la plus exhaustive possible.
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5
Aucune campagne nationale de prévention depuis 1994 : l’OMIN permet d’évaluer l’efficacité passée et de proposer des messages actualisés.
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6
37 centres MIN partenaires, autour d’un pilotage scientifique depuis Nantes. Une approche coordonnée pour faire émerger des solutions.
Qui ?
Les visionnaires et experts
à l’origine du projet
« Comprendre, prévenir, et faire avancer la recherche : c’est tout l’enjeu de l’OMIN, que nous pilotons depuis 2015 pour lutter contre la première cause de mortalité chez les tout-petits. »
Pr Christèle Gras-Le Guen, chef du service pédiatrie du CHU de Nantes

Chaque année en France, environ 500 bébés décèdent brutalement sans signe annonciateur. Dans plus de la moitié des cas, aucune cause n’est retrouvée malgré les examens. La Mort Inattendue du Nourrisson (MIN), dont fait partie la Mort Subite du Nourrisson (MSN), reste un drame insupportable pour les familles, mais aussi un défi médical et scientifique majeur. Le CHU de Nantes coordonne l’OMIN, premier observatoire national dédié à cette cause. En collectant une grande diversité de données dans 37 centres MIN, ce projet vise à identifier de nouveaux facteurs de risque, mieux comprendre les causes biologiques et environnementales, et actualiser les campagnes de prévention. Parce qu’aucune famille ne devrait vivre ce drame, chaque donnée compte. Chaque soutien aussi.
FAQ
Parce que chaque question
mérite une réponse !
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Parce que leurs causes sont multifactorielles : il peut s’agir d’un mélange complexe de facteurs biologiques, environnementaux, infectieux ou génétiques.
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C’est la première base de données nationale aussi complète, intégrant des dimensions médicales, sociales et biologiques, sur une cohorte représentative.
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Seules les familles ayant donné leur consentement sont intégrées dans l’étude, dans le respect total de leur douleur et de leur confidentialité.
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Le CHU de Nantes, en lien avec les 37 centres de référence MIN répartis dans toute la France.
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À renforcer la base de données nationale, soutenir les analyses médicales, la coordination du réseau, et développer de nouvelles actions de prévention.
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